Entre le VIIIe et le XVe siècle, la recherche scientifique la plus avancée se faisait en arabe. Entre le VIIIe et le XVe siècle, la recherche scientifique la plus avancée se faisait en arabe. L’arabe était alors la langue de la science, depuis l’Espagne jusqu’aux confins de la Chine. Ce livre en trois tomes entend replacer les sciences arabes dans l’histoire des sciences. C’est en fait la première synthèse jamais effectuée dans ce domaine et dans cet esprit. Si, aujourd’hui, un tel panorama est possible, c’est en raison des recherches menées dans les dernières décennies. Les meilleurs spécialistes des multiples domaines des sciences arabes ont été sollicités pour restituer à la science arabe son visage et sa place, en privilégiant l’analyse des sources anciennes (surtout grecques) et en consacrant quelques chapitres aux prolongements latins et hébraïques. C’est à un large public cultivé que s’adresse ce véritable livre de référence.
Ce deuxième volume traite des sciences mathématiques et physiques. La constitution de l’algèbre comme discipline a provoqué un développement sans précédent de la géométrie algébrique, de l’analyse diophantienne, de la théorie des nombres, de l’analyse combinatoire, de l’analyse numérique, de la trigonométrie… L’étude des transformations et des projections géométriques ainsi que celle des déterminations infinitésimales ont pris, parmi d’autres, une extension remarquable. Il en est de même pour l’optique, la statique et la musique. Autant d’éléments qui permettent de comprendre comment la « science classique » a pu naître et se développer.
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Titre Histoire des sciences arabes T2
Format 432 p. 21.5 X 17 cm
Prix 25,4 €
Du même auteur Histoire des sciences arabes T1 Histoire des sciences arabes T2
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