Le mathématicien André Weil rappelle dans son œuvre que certaines surfaces mathématiques connues en géométrie algébrique, les surfaces K3, ont été ainsi nommées d’après trois mathématiciens (Kummer, Kähler et Kodaira) et une montagne du Pakistan, le K2.
L’auteur a pris le prétexte de ce rapprochement pour réfléchir sur les mathématiques et la montagne, les variétés de Calabi-Yau, la théorie des cordes, la géométrie tropicale ou la recherche opérationnelle, domaines auxquels il introduit le lecteur sans qu’il s’en aperçoive ou presque.
|
|
Titre Le cas du K2
Format 100 p.
Prix 15 €
Chez le même éditeur
|